Malgré les performances sans cesse croissantes des machines de calcul, les modèles réduits en thermique correspondent à une demande industrielle : Si on prend l'exemple des satellites, la taille mémoire allouée pour la thermique est imposée par l'ESA, charge à l'industriel de fournir un modèle thermique s'y conformant. Pour l'électronique, une étude paramétrique d'une carte électronique comportant plusieurs centaines de composants est inenvisageable. Ce dernier exemple sera le sujet principal du séminaire : je parlerai de sous-structuration modale, et des bases choisies pour traiter correctement les conditions de raccordement. Je présenterai aussi l'autre activité de l'équipe Thermique du LMEE qui concerne l'utilisation de modèle réduit pour l'identification de sources ou de paramètres physiques.